Les Maîtres Laitiers du Cotentin choisissent le DXi de Quantum plutôt qu’Exagrid
Pour protéger leur environnement Veeam
This is a Press Release edited by StorageNewsletter.com on October 15, 2018 at 2:14 pmQuantum Corp. annonce que les Maîtres Laitiers du Cotentin (MLC), coopérative laitière française de premier plan, avaient décidé de déployer des appliances de déduplication DXi de Quantum avec le logiciel Veeam pour faire face à un foisonnement sans précédent de données et à l’explosion des cybermenaces.
Lors des tests de validation fonctionnelle, les appliances DXi ont montré des résultats plus de 3 fois supérieurs à ceux de leur principal concurrent, de même qu’à ceux des fonctions de déduplication du logiciel de sauvegarde, pour les tâches de sauvegarde primaire. Les performances en environnement de production se sont révélées meilleures qu’en conditions de test.
Refonte de la stratégie de protection des données en réponse
à un foisonnement d’informations et à l’explosion des cybermenaces
Coopérative laitière en France, MLC réunit 820 exploitations locales. Chaque année, elle collecte et transforme plus de 400 millions de litres de lait, et distribue ses produits à travers la France, le reste de l’Union européenne et la Chine. Acteur du marché de l’ultra frais des marques distributeurs et de la consommation hors domicile, l’entreprise propose une gamme de produits étendue, notamment avec sa nouvelle marque Campagne de France qui défend les filières françaises de production et de transformation. MLC s’appuie sur des services informatiques et une gestion des données pour assurer le suivi de ses stocks, superviser sa production et gérer ses opérations métiers complexes, dont la paie, les ressources humaines et les activités tertiaires de ses filiales de distribution.
Depuis 2010, l’entreprise virtualise près de 98 % de son parc de serveurs comptant plus de 120 machines – une stratégie qui n’a pas été sans incidence sur la sauvegarde et la protection des données. La plupart des sauvegardes étaient effectuées par le logiciel Veeam, qui écrivait directement les données sur disque. Seuls quelques serveurs physiques étaient protégés par l’application de sauvegarde déjà en place dans l’entreprise. Les volumes de données augmentaient cependant à un rythme annuel d’environ 25 %, ce qui fait que les systèmes avaient du mal à suivre. De plus, l’entreprise commençait à subir des attaques par ransomware. C’est pourquoi, malgré la protection assurée par les sauvegardes, MLC a décidé de moderniser son système.
Tests de validation fonctionnelle
et sélection de l’appliance matérielle de déduplication
MLC souhaitait conserver le logiciel Veeam, qui avait prouvé son efficacité contre les attaques par ransomware. L’équipe a considéré que les appliances de déduplication constituaient la meilleure approche en matière de matériel de sauvegarde.
“Nous avons estimé que la déduplication nous permettrait de stocker davantage de données sur un plus petit nombre de disques et donc d’étendre la durée de rétention. Nous souhaitions par ailleurs que le système nous donne la possibilité de répliquer des jeux de sauvegarde entre nos différents datacenters”, indique Emmanuel Moncuit, administrateur réseau et système de l’entreprise.
L’équipe a identifié deux appliances de déduplication certifiées par Veeam offrant un tel niveau d’intégration : ExaGrid et Quantum DXi.
“Nous avons entendu nombre d’arguments sur les fonctionnalités potentielles de chaque système, mais avons décidé que la seule façon pour nous de savoir si ces systèmes étaient réellement compatibles avec nos données et nos réseaux était de réaliser des tests matériels en conditions réelles”, déclare Emmanuel Moncuit.
Les tests ont révélé plusieurs avantages qui ont permis au système DXi de se démarquer de manière évidente, affichant des performances tout aussi élevées que son concurrent dans un format beaucoup plus compact. Les résultats des systèmes DXi en matière de déduplication offraient des avantages, ne serait-ce qu’en termes de taille des unités et d’efficacité de la réplication.
“Pour notre site distant, le système DXi n’a nécessité l’installation d’aucune appliance physique. Nous avons simplement utilisé l’environnement VMware local et ajouté l’appliance virtuelle”, souligne Moncuit.
Concernant la déduplication, les unités DXi ont montré des résultats plus de 3 fois supérieurs à ceux de leur concurrent pour les tâches de sauvegarde primaire. Cet avantage a été multiplié pour la réplication, car le système DXi tire parti de sa déduplication globale. Pour la réplication des nouvelles données d’une sauvegarde de 224Go entre deux appliances situées sur des sites distincts, le système concurrent a transmis 21,7Go de données (ratio de réduction de 10:1), tandis que l’appliance virtuelle DXi a envoyé 1,4 Go de données seulement, soit un taux de déduplication de 159:1.
“Au cours de nos tests, la réplication par le système DXi a débuté dès que le premier fichier a été sauvegardé, n’attendant pas la fin du job Veeam, si bien que notre fenêtre de risque (le délai entre la réalisation d’une sauvegarde et la conservation d’une copie hors site sécurisée) a été incroyablement courte, contrairement au système concurrent qui commençait la réplication après la fin du job Veeam”, ajoute Moncuit.
Des résultats en environnement de production
meilleurs qu’en conditions de test
Suite aux tests, l’équipe a installé les unités DXi au sein de son environnement de production et a eu le plaisir de constater que les résultats en conditions réelles étaient meilleurs que ce à quoi elle s’attendait.
“Grâce à l’utilisation conjointe d’appliances DXi et du logiciel Veeam, nous sauvegardons aujourd’hui plus de données en moins de temps, répliquons nos sauvegardes via notre WAN existant, sommes en mesure de restaurer des fichiers rapidement et disposons d’une stratégie de reprise après incident qui protège nos données des attaques par ransomware.”